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  • : Children of Mamoridou
  • : Children of Mamoridou est un projet d'alphabétisation d'une école primaire dans le Sud de la Guinée-Conakry à Mamoridou, El Hadj Filani Mamadi Camara.
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  • Liza Leyla est traductrice et auteure multilingue, elle est membre de la presse mondiale et collabore à diverses revues. Elle est marraine d'une école primaire à Mamoridou dans la préfecture de Beyla
  • Liza Leyla est traductrice et auteure multilingue, elle est membre de la presse mondiale et collabore à diverses revues. Elle est marraine d'une école primaire à Mamoridou dans la préfecture de Beyla
14 mars 2021 7 14 /03 /mars /2021 22:17

Arrière-plan philosophique

de l'œuvre de Stendhal

(1783-1842)

Eliza Muylaert


 

Avant-propos : premières impressions de l’œuvre de Stendhal

 

Stendhal, pseudonyme de Marie-Henry Beyle (Grenoble, 23 janvier 1783 – Paris, 23 mars 1842) était un romancier qui a subi des influences réalistes et romantiques. Pour écrire ses romans, il se basait sur un fait réel ce qu'il considérait comme «être vrai». Ses écrits sont imprégnés de l'esprit de l’Éros, principe de créativité et d'inspiration, et se concentrent sur la cristallisation, phénomène du devenir amoureux.

Cet essai se veut une approche philosophique de l'œuvre de Stendhal, qui mettra en valeur la pensée de Stendhal et les sources qu'il a utilisées pour établir sa Filosofia Nova qui reflète la fusion entre l'esprit rationnel et l'aspiration romantique au sein du tourbillon d'idées se manifestant au début du 19ème siècle.

 

Les héros stendhaliens se meuvent élégamment au-dessus des crevasses des structures sociales. Ils se servent avec délicatesse de la réalité mondaine pour forger avec aisance leurs projets et cacher leurs secrets les plus intimes. Dans le contexte de la haute société, ils trouvent des moyens multiples pour réaliser leurs objectifs te dépasser la banalité de la quotidienneté régnante.

 

Ce qui frappe surtout chez ce grand connaisseur du cœur humain, c'est l'importance de la réflexion chez ses personnages imaginaires construisant leur propre réalité sur les fondements fragiles d'un monde environnant qui les laisse indifférents mais qui leur permet de réaliser leurs désirs les plus audacieux. Les structures de la réalité sociale sont utilisées comme paravent gardant la réalité de l'individu à une distance sûre, bonne gardienne de l'intimité.

 

C'est surtout l'individu avec ses rêves et ses désirs raffinés qui provoque l'intérêt de Stendhal – l'individu, éloigné de mille lieues des conventions de la vie mondaine. Les héros stendhaliens sont hantés par une grande passion : vivre leur vérité, loin du «droit» chemin. Face aux conventions imposées, ils apparaissent comme blasés. S'étant posé un but, ils sont inassouvissables dans leurs intrigues animées, se réfugiant dans le «faux» chemin et le «mensonge» afin de préserver leur authenticité. Ils se meuvent entre les deux pôles de la passion-raison.

Stendhal démonte le monde de l'apparence par une observation subtile. Mais de ce château de cartes, il pressure les projets enthousiastes de ses acteurs et actrices. Tout y reçoit une place adéquate : son imagination fait sortir par un coup de baguette magique un jeu d'échecs aux compartiments bien déterminés, où les pions jouent au chat et à la souris sous le regard vigilant des rois adversaires.

La réalité des relations sociales entraîne le lecteur sur une fausse piste. Stendhal décrit, il laisse à ses lecteurs la liberté de lire entre les lignes et de découvrir sa vérité dans la vie intérieure de ses individus.

 

Les héros stendhaliens sont des aristocrates dans le «vrai» sens du mot – à savoir dans le sens de l'aristocratie de l'esprit -, car leur réalité se joue sous les forteresses de la masse anonyme et sa réalité blasée. Leur secret, se camouflant sous leurs rôles multiples, est leur force, qui ne se laisse pas corrompre par un opportunisme avilissant.

Introduction à la lecture de Stendhal (1)

 

C'est surtout dans les années 1804 et 1805, pendant lesquelles Beyle séjournait à Paris, qu'il commença une sérieuse étude philosophico-scientifique afin d'écrire plus facilement ses œuvres et de donner une base philosophique à ses aspirations littéraires. Stendhal est utilitariste dans son activité créative, mais on l'oublie assez vite quand on se familiarise avec ses romans qui sont vraiment attachants comme l'auteur y décrit subtilement sa propre expérience subjective. Et cette expérience est pleine de passion, d'imagination et de rénovation. Ce qui frappe chez Beyle, c'est sa soif illimitée de connaissance. Toutes sortes de domaines de la vie ont provoqué son intérêt; c'est surtout l'homme avec ses possibilités multiples qui lui importe. Et dans tout cela, c'est la femme qui a une place privilégiée, parce que pour Stendhal, c'est l'expérience amoureuse qui donne un sens à la vie. Beyle consacre un culte véridique à la femme : non le culte qu'on porte à un être inaccessible qu'on idolâtre, mais celui qu'on voue à un être dans lequel on découvre plus de charmes à mesure qu'on apprend à le connaître mieux. Beyle a mis en lumière la valeur profonde de l'érotisme dans son expérience et dans son œuvre créative, et c'est principalement la femme qui symbolise et concrétise la tendance érotique dans l'homme. C'est pour cela qu'on l'apprécie encore à notre époque et que son œuvre reste actuelle.

Les lectures et les études de Beyle étaient très variées et divergentes, mais je n'ai pas l'intention de donner une liste de toutes les sources qu'il a utilisées en écrivant ses œuvres. - On en trouve un aperçu intéressant dans le livre de Vittorio del Litto, La vie intellectuelle de Stendhal; genèse et évolution de ses idées, 1802-1821. - Je me consacrerai surtout à deux mouvements intellectuels du Siècle des Lumières, qui sont assez proches l'un de l'autre et qui rompent avec l'évolution idéaliste du cartésianisme, dont ils sont cependant le produit : le sensualisme et l'idéologie. Le sensualisme est une forme d'empirisme, qui valorise seulement l'expérience, acquise par la perception sensuelle, en tant que source de connaissance, et dans laquelle l'auto-perception, qui a encore une certaine importance chez Locke, est supprimée. Tandis que Locke faisait encore la distinction entre la perception extérieure (sensation) et la perception intérieure (réflexion), Condillac essayait de déduire toutes les connaissances des sensations; il considère l'opinion comme l'apparition simultanée de deux sensations qui se tolèrent ou qui s'excluent. Dans ce traité, je parlerai surtout d'Helvétius en tant que représentant du sensualisme : ce philosophe a eu une grande influence sur les idées de Stendhal – Stendhal s'y réfère fréquemment dans son œuvre autobiographique et il applique aussi les principes d'Helvétius à ses romans – et ceci surtout en se basant sur deux livres dudit philosophe, De l'Esprit  et De l'homme. Les idées d'Helvétius ont sûrement renforcé l'anticléricalisme de Beyle. De l'Esprit a été condamné par la Sorbonne à cause de ses idées anticléricales et éclairées, et a été brûlé publiquement : Helvétius voulait briser le pouvoir de l'Église en incitant les croyants à la tolérance à l'égard de toutes les religions, afin de faire perdre à l'Église romaine sa position privilégiée. Mais c'est surtout le culte des passions que Stendhal emprunte à son prédécesseur; un culte qu'on ne peut séparer du culte de l'énergie, si important pendant la Renaissance, et qui modèlera l'atmosphère de La Chartreuse de Parme . L'intrigue de ce roman se situe à la fin du dix-huitième, début du dix-neuvième siècle; mais du point de vue de l'esprit et de l'atmosphère, on ferait mieux de le situer pendant la Renaissance. Les passions contiennent le germe productif, d'où naissent des actions grandioses. - Stendhal et Helvétius sont d'accord sur le fait que la force des passions se mesure à la force de l'illusion; quoique les deux écrivains mettent l'accent sur le fait que les passions ont une cause physique, ils attachent beaucoup d'importance à la cristallisation ou au jeu de l'imagination, si nécessaire au jeu amoureux. Ce qui est essentiel dans la passion, c'est la concentration, l'attachement à un objet. Beyle met davantage l'accent sur l'imagination qu'Helvétius, pour lequel le plaisir physique était plus important; on peut dire que l'esprit utilitariste est moins évident chez Beyle que chez Helvétius. Quoique Stendhal mette souvent en relief l'idée que le bonheur est dans la tête – Helvétius fait une nette distinction entre tête et cœur, c'est-à-dire entre idées et sentiments –, il semble pourtant oublier quelquefois ce principe pour se perdre dans ses propres sentiments, et ceci ne concerne pas seulement ses propres expériences, mais aussi celles qu'il décrit. C'est pour cette raison que j’ai voulu mettre l'accent sur le fait qu'on ne peut nier la valeur de l'érotisme en lisant et en étudiant Stendhal; je me référerai fréquemment au livre de George Bataille, L’Érotisme, où l'essence de l'érotisme1 – l'exaltation du momentané, qui rompt avec l'organisation – est traitée en profondeur. L'expérience amoureuse est liée à la mort : l'acte sexuel est dans un certain sens une «petite mort», l'enlisement dans le néant. Mais en même temps, il mène à une régénération – Lou Salomé le considérait essentiellement comme tel. Stendhal répète sans cesse que la passion stimule l'action. Un élément important dans l'expérience érotique, c'est l'obstacle, le tabou. Sans restrictions, nous tombons dans la sexualité animale. Dès que la sexualité perd son caractère animal, nous pouvons parler d'érotisme. L'érotisme est un facteur considérable dans l'évolution de l'humanité. L'obstacle dans l'amour – Denis de Rougemont analyse ce problème dans L'Amour et l'Occident - est une condition nécessaire à l'expérience érotique. Stendhal est l'auteur par excellence qui intègre subtilement le thème de l'obstacle dans ses romans. Fin psychologue, il décrit comment les amoureux essaient de se rapprocher, mais ils sont toujours séparés par un obstacle. L'obstacle est souvent d'origine sociale. Le désir des amoureux reste continu dans le sens où il n'est jamais consommé.

Beyle attachait beaucoup d'importance à la passion et au cœur, mais c'est dans la tête qu'on trouve le bonheur d'après ses dires : on peut construire son propre bonheur, et cela en employant son cerveau. Il répète cela sans cesse dans sa correspondance avec sa sœur Pauline. Il applique ce principe lorsqu'il veut se débarrasser d'une expérience amoureuse tragique : il se console alors avec l'étude et avec sa création littéraire. Et ainsi nous aboutissons à l'esthétique, qui est aussi importante dans la vie de Stendhal que dans son œuvre. Après une étude approfondie, il aboutit à la conclusion que la beauté est quelque chose de relatif (le principe de la relativité de la beauté) qui diffère selon le temps et selon la culture; ceci était une nouveauté pour les contemporains de Stendhal, car ils étaient habitués à un idéal de beauté universelle et métaphysique. Beyle s'oppose donc au classicisme et conclut de ses observations que la conception de la beauté est un produit social. C'est surtout dans son Histoire de la Peinture en Italie que l'on peut trouver les conceptions stendhaliennes de l'esthétique. Helvétius et Maine de Biran ont sûrement eu une influence considérable sur l'esthétique stendhalienne, ce qui est développé d'une façon intéressante par Alciatore dans deux de ses écrits, Stendhal et Helvétius et Stendhal et Maine de Biran. Stendhal emprunte à Helvétius l'idée que les passions engendrent les beaux-arts. C'est Maine de Biran qui attire son attention sur l'influence de l'habitude sur la sensation et la perception; et dans ce sens, il fait une distinction entre les impressions actives et passives. Selon lui, l'habitude jette l'homme dans une sorte d'aveuglement. L'importance de Maine de Biran se trouve dans le fait qu'il a réussi à intégrer la physiologie dans l'idéologie. Pour lui, la passion est un culte, qui appartient au domaine de l'imagination. Il fait observer le danger des passions et met l'accent sur les jouissances intellectuelles.

La complexité de Stendhal réside surtout dans le fait qu'il avait un esprit scientifique et une vie sentimentale très développés. Ca explique les contradictions qu'on trouve chez lui. D'un côté, il se laisse mener par la raison et l'esprit analytique, de l'autre côté, il s'adonne à sa nature passionnée.

Beyle doit sa formation scientifique surtout à l’École Centrale de Grenoble. C'était Condillac qui fonda en 1795 L'Académie des Sciences morales et politiques. Les membres de cette école, les idéologues, furent d'abord des admirateurs de Napoléon, mais lorsque ce dernier supprima l'Académie dont question, ils s'opposèrent à lui et ils se réunirent dans la maison de Madame Helvétius. Ils opposent l'analyse raisonnée à l'intuition romantique, dont Chateaubriand était le représentant le plus important. Ils combinent la philosophie du dix-huitième siècle avec un esprit qui annonce déjà le positivisme, et s'opposent à la restauration religieuse. La grande importance qu'Antoine-Louis-Claude Destutt de Tracy (1754-1836) avait dans ce mouvement réside dans le fait qu'il va organiser l'éducation nationale et cela en fondant les Écoles Centrales, et c'est en fonction de cela qu'il écrit ses livres. Sa critique de l'éducation vise surtout le manque d'unité entre les différentes branches des sciences. La tâche de l'idéologie consiste surtout à retrouver l'unité, autrement dit la philosophie première. L' idéologie est une analyse des facultés humaines, et de Tracy oppose l'expérience immédiate à la réduction analytique de Condillac. La vraie logique est l'étude spéculative des moyens de la connaissance. Le dernier écrit de Tracy fut le chapitre inachevé des Éléments d'idéologie, intitulée De l'amour, et ceci amena Stendhal à commencer son traité sur l'amour. Quant à ses conceptions de l'amour, Destutt de Tracy est progressiste, par moments un peu trop moraliste : il laisse peu de liberté à l'expérience érotique, ceci contrairement à Saint-Lambert, qui l'influença, ainsi qu'à Stendhal. Il est féministe, car il opte pour l'égalité entre l'homme et la femme. Il définit l'amour comme un besoin physique et comme une passion, perfectionnement de l'attachement entre deux individus. Il accentue deux sentiments essentiels dans la nature humaine : un sentiment de conscience de la personnalité et un sentiment de sympathie.

Un autre idéologue que Stendhal appréciait beaucoup et qui aura une influence considérable sur toute son œuvre est le médecin et politicien Cabanis. Je ne parlerai pas explicitement dans ce traité de l'influence que Cabanis avait sur Stendhal, mais je mettrai aussi en lumière ses idées, comme Cabanis donne beaucoup de place à la recherche physiologique. En tant qu'adhérant de la doctrine du libre examen - un produit du cartésianisme -, Cabanis croit à la supériorité de la méthode scientifique. Il considère Locke comme le grand réformateur de la philosophie et voit dans la philosophie une analyse d'idées, basée sur l'observation des phénomènes. Dans son livre Rapports du Physique et du Moral de l'homme (1802), il donne une analyse des idées et de la morale, se référant à la physiologie : la sensibilité physique est la source de toutes les idées et de toutes les habitudes morales. Pour lui, la médecine était importante par rapport à l'acquisition de la connaissance.

 

Dans cette introduction, j'ai surtout mis l'accent sur l'importance de l'érotisme dans l'œuvre de Stendhal : la passion inclut le germe productif qui stimule les hommes à de grandes actions. Mais l'esthétique acquiert aussi une place importante dans la vie et dans l'œuvre de Beyle. C'est surtout à cause de ses nouvelles idées que Stendhal nous intéresse : il rompt avec le classicisme et prône le principe de la relativité de la beauté. Il écrit un essai sur la Renaissance italienne, Histoire de la Peinture en Italie (1816), et dans ce but il entreprend une étude élaborée des beaux-arts de cette période. Il étudie aussi le style de différents auteurs, dans l'espoir que cela facilitera la création de ses romans. Grâce à la lecture d'Helvétius, il aboutit à la conclusion que l'homme a besoin de beaucoup de temps libre pour créer : les classes aisées ont donc plus de possibilités d'être créatives. L'esthétique est aussi liée à l'érotisme, parce que les passions produisent les beaux-arts. C'est Helvétius qui a rendu Stendhal conscient du fait que l'œuvre d'art est seulement authentique si l'artiste y exprime ce qu'il a éprouvé lui-même, et c’est en général à cela qu’est due sa renommée. L'esprit ne peut jamais appréhender le langage des sentiments.

Pour conclure cette introduction, je voudrais encore attirer l'attention sur un trait de caractère de Stendhal : l'ambiguïté. Stendhal est aventurier, en corps et en âme. Sa liberté se trouve dans son ironie qui sauvegarde ses secrets. C'est pour cette raison que Stendhal est toujours actuel et moderne.

 

Filosofische Achtergrond van het werk van de

Franse denker STENDHAL (1783-1842)

 

©Eliza Muylaert

 

We kennen Stendhal vooral als romanschrijver, maar aan zijn waarde als denker mogen we zeker niet voorbijgaan.

In zijn « Pensées » wijst Stendhal erop dat de originaliteit van een schrijver ligt in een analyse van de menselijke gevoelens gebaseerd op de subjectieve ervaring : « Je ne crois pas que je fasse jamais de grandes découvertes dans l'analyse des sentiments ordinaires de l'homme. Ce n'est pas mon génie, mais je puis décrire les sentiments que j'ai éprouvés, analyse qui sera neuve ».1

Stendhal was ervan overtuigd dat degelijke filosofische studies onmisbaar waren om te slagen in zijn carrière van schrijver. Om het creëren van zijn werken te vergemakkelijken, zet hij een groot filosofisch werk op, de Filosofia Nova. Hij wordt hierin beïnvloed door Hobbes, die hem het belang bijbrengt van het principe « Nosce te ipsum », en dat volgens Destutt de Tracy een bron van geluk bevat. In zijn brieven aan zijn zuster Pauline herhaalt hij voortdurend dat men het genot in zichzelf moet vinden. Zijn werk richt zich dus tot de happy few; Stendhal is een dilettant, onstandvastig in verlangens en ideeën. Voor zijn romans maakt hij geen compositie; hij beperkt zich tot enkele korte plannen en richtlijnen.

Vanaf 1822 leidt Stendhal te Parijs het leven van een gecultiveerde dilettant, en werkt hij mee aan Engelse tijdschriften zoals het « New Monthly Review », het Londense « London Magazine », « Atheneum », « Paris Monthly Review ». Ondanks zijn onverbeterlijke partijdigheid in zijn oordelen legt hij een interesse aan de dag voor allerlei soorten wetenschappelijke problemen zoals anatomie, fysiologie, magnetisme, vivisectie, enz... In zijn artikels beschrijft hij Chateaubriand als de grootste prozaïst van zijn tijd, maar daarnaast overlaadt hij hem met kritiek, o.a. Omdat het christendom de basis is van zijn esthetica.

Om te onderzoeken welke filosofische invloeden er achter het creatief werk van Stendhal schuilen, moeten we ons refereren naar de 18de eeuw. In zijn oppositie tegen het cartesiaans nationalisme speelt de Encyclopedie een belangrijke rol. Inspiratie en intuïtie krijgen een voorrang op de discussie a priori. De voornaamste vertegenwoordigers van de materialistische strekking – een tak van de Encyclopedie – in de 18de eeuw waren : La Mettrie, d'Holbach, Helvétius. Ze opteren voor een politiek regime dat de opvoeding van het volk op zich neemt met het oog op zijn bevrijding.

Van deze drie vertegenwoordigers zal het Helvétieus zijn die een grote invloed zal uitoefenen op Stendhal. Vooral zijn interesse voor de passies zal Stendhal aanbelangen. Helvétius onderscheidt twee soorten passies : passies die voortkomen uit de natuur en passies die ontstaan in de maatschappij. Het fenomeen van de kristallisatie in de liefdesbeleving heeft volgens hem een fysische oorzaak, en is onmogelijk zonder welstand en vrije tijd. De passie als bron van energie en activiteit, is van nature het meest doeltreffende middel om te ontsnappen aan de verveling. Volgens Helvétius wordt de intelligentie gevormd door de opvoeding, en moet ze niet worden beschouwd als een gift van de natuur. In verband met het eigenbelang is Helvétius meer utilistisch ingesteld dan Stendhal : deze laatste legt meer de nadruk op het erotisme dat het functioneel aspect van het fysieke genot voorbijstreeft. In de sterkste passie is het object zo noodzakelijk voor ons geluk dat het leven ondraaglijk wordt zonder het bezit van dit object. De passie stimuleert tot actie.

 

Belangrijk in het werk van Helvétius is het begrip « geest ». Wat betekent dit? Het is de bekwaamheid de gelijkenissen en verschillen te zien, de overeenkomsten en de wanverhoudingen die heersen tussen de verschillende objecten. Dit veronderstelt de noodzakelijkheid van de methodische twijfel, de filosofische twijfel met het oog op de waarschijnlijkheid. Helvétius gelooft in de perfectibiliteit van de menselijke geest. Geest en genie zijn slechts nieuwe ideeën.=

De lectuur van het werk van Destutt de Tracy zal ook een belangrijke factor worden in de compositie van de Filosofia Nova. De Ideologie is een filosofische beweging die ontstaat met Condillac. Haar gouden tijd begint in 1795 met de oprichting van de « Académie des Sciences morales et politiques ». De leden waren in het begin aanhangers van de Bonaparte. Ze hadden samenkomsten in het huis van Mevrouw Helvétius te Auteuil. Ze kwamen vlug tot de constatatie dat Bonaparte niet de liberaal en voortzetter van de revolutie was waarvan ze droomden; In 1803 schafte Napoleon de Academie des Sciences morales af; en zo ging de partij van de ideologen in oppositie. Ze gaan in tegen het belang dat het « Génie du Chrisianisme » van Chateaubriand krijgt.

De Ideologie associeert de filosofie van de 18de eeuw met het positivisme. Ze was de religieuze restauratie bijzonder vijandig gezind. Na de revolutionaire omwenteling en een periode van triomf gevoelden de ideologen de behoefte de nationale opvoeding te reorganiseren; ze interesseerden zich voor de oprichting van de Centrale Scholen voor dewelke Destutt de Tracy bepaalde werken schreef : « Eléments d'idéologie », samengesteld uit « Idéologie », « Grammaire générale », « Logique », « Traité sur la volonté ». Wat de Tracy vooral kritiseert in de opvoeding, is het gebrek aan éénheid tussen de verschillende takken van de wetenschap. Voor hem heeft de ideologie in de ruimere zin van het woord als functie die éénheid terug te vinden.

De toepassing van de Filosofia Nova vindt men terug in Beyle's romans alsook in zijn verhandelingen.

De inhoud van zijn minder gekende roman « Armance » wijst op de complexiteit van Beyle : aan de ene kant vindt men daarin zijn zin voor analyse, aan de andere kant laat hij er de vrije loop aan zijn creatieve mogelijkheden en aan zijn verbeelding. De ondertitel « Quelques scènes d'un salon de Paris en 1827 » zou kunnen wijzen op een sociale satire. We zouden echter ook kunnen spreken van een psychologische roman.

Stendhal bekijkt de maatschappij met de ogen van Octave, de gedesillusioneerde. De held lijdt aan depressie en impotentie. De keuze van de held impliceert een zekere ironie. De roman vertrekt van een fysiologisch probleem om uit te monden in een bijna romantisch liefdesverhaal. De metafysische « deugd » op zichzelf is enkel illusie en een klein sprankje hoop maakt het leed van de illusie nog groter : «Contre toute raison, contre ce que je m'étais juré pendant toute ma vie, j'ai cru avoir rencontré un être au-dessus de l'humanité. Pour mériter une telle exception, il m'eût fallu être aimable et gai, c'est ce qui me manque. Je me suis trompé; il ne me reste qu'à mourir ». .... « Ce qui pour les âmes tendres rend le malheur si cruel, c'est une petite lueur d'espérance qui quelquefois subsiste encore. »2  De schrijver laat aanvoelen dat de bevrediging van het metafysisch verlangen in de liefdesbeleving onmogelijk is.

In zijn « Histoire de la Peinture en Italie » poogt Stendhal na te gaan hoe het esthetisch gevoel van de mensen zich sedert de vroegste tijden ontwikkeld heeft. Hij komt tot het besluit dat de opvatting over de schoonheid verschilt van cultuur tot cultuur. Zijn opvatting zal indruisen tegen het christelijke « beau idéal » van Chateaubriand. Ze strijdt eveneens met de in die tijd heersende definitie van Winckelmann die een universeel metafysisch schoonheidsideaal aanhing. Elke cultuur kent een eigen « beau idéal », en dit kan veranderen in de loop van de tijden door de zich wijzigende omstandigheden zoals klimaat en politiek regime.

Stendhal kant zich tegen het classicisme dat in Frankrijk jarenlang de literatuur had beheerst, en dat een universeel schoonheidsideaal nastreeft. Ook Madame de Staël wees op de relativiteit van het schoonheidsideaal in haar werk « De l'Allemagne » verschenen in 1810, en maakt dit afhankelijk van het culturele klimaat.

Stendhal gaat de klassieke tragedie heftig aanvallen; het romantisch offensief zal het hiertoe de nodige argumenten leveren. Volgens hem zijn de conventies gemaakt voor en door middelmatige mensen. Hij wou het werk van Schlegel « Cours de littérature dramatique » doen kennen aan zijn landgenoten. De Franse pers had geprobeerd het publiek negatief te stemmen tegenover het werk van Schlegel, en stelde hem voor als iemand die Molière had beledigd door zijn genie als auteur van komedies te miskennen. Stendhal's gehechtheid aan de romantische ideeën blijkt ook duidelijk uit zijn werk « Vie de Haydn, de Mozart et de Métastase », geschreven in mei en juni 1814.

Het sensualisme van Helvétius biedt Stendhal een doctrine waarop zijn filosofie, politiek, moraal en esthetica zullen gebaseerd zijn. Helvétius beweert dat hoe meer iemand zich verveelt, hoe meer behoefte hij heeft aan grote rijkdommen. Toch volstaat de verveling niet om het ontstaaan van de Schone Kunsten te verklaren. Deze ontstaan slechts bij volkeren die gepassioneerd en energiek zijn. Passie stimuleert tot actie. De hele poëtiek van Stendhal, zoals die van Helvétius, berust op de kennis van regels die men moet volgen om sterke gewaarwordingen voort te brengen. Hoe nieuwer een gewaarwording is, hoe levendiger ze is, en hoe mooier de creatie die eruit voortvloeit.

Wat we gewoon zijn, verwekt geen levendige gewaarwordingen meer in ons. Het is Maine de Biran met zijn werk « L'influence de l'habitude sur la faculté de penser », die Beyle tot dergelijke conclusies bracht. De noodzakelijkheid van de nieuwheid zal één van de belangrijkste van de Stendhaliaanse poëtiek worden; Het sublieme is datgene wat de sterkste indruk maakt. Volgens Stendhal is Michelangelo de artiest bij uitstek van het sublieme.

Beyle wil intentioneel sublimeren, d.w.z. ideeën en gevoelens kiezen die de toeschouwers het meest ontroeren. Hij eist de eenvoud van uitdrukking in het kunstwerk gepaard gaande met een variatie qua details. In een kunstwerk moet alles voorbereid worden. Helvétius noemt dit de wet van de continuïteit. Enkel het buitengewone is treffend. Helvétius heeft van de passie de hefboom gemaakt die de morele wereld animeert.

Volgens Maine de Biran is elke passie een bijgelovige cultus die men maakt van een object uit de fantasie. Het is moeilijk een onderwerp van bewondering of een object van de kennis in de gewone dingen te vinden. Stendhal wijst erop dat de sensibiliteit slechts gevoed wordt door veranderingen en contrasten. De mens went aan het plezier en zelfs aan het lijden. Het is door iets nieuws te creëren dat de artiesten erin slagen ons te bevallen.

Ofwel heeft schoonheid niets gemeen met de nabootsing van de natuur, ofwel moet er een verschil bestaan tussen de schoonheid van de Ouden en de moderne schoonheid (« le beau antique et le beau moderne ») : « Ou prononcez que la beauté n'a rien de commun avec l'imitation de la nature, ou convenez que, puisque la nature a changé entre le beau artistique et le beau moderne, il doit y avoir une différence » ... « Comment fera la beauté antique, si elle est l'expression de la force, de la raison, de la prudence, pour rendre une situation qui est touchante, précisément par l'absence de toutes ces vertus ».

In 1817 verschijnen de twee delen van « Histoire de la Peinture en Italie ». Het werk heeft duidelijk de invloed ondergaan van de ideeën van Montesquieu en Cabanis. De belangrijkste idee is dat er zoveel types van schoonheid bestaan als er rassen, regeringen en klimaten zijn; m.a.w. er bestaat geen universeel schoonheidsideaal.

In zijn verhandeling « De l'Amour » wil Stendhal een beschrijving geven van een soort « waanzin » die zeldzaam is in Frankrijk. Fysiologisch gezien kan men de passie beschouwen als een soort koorts die kan genezen worden. Volgens Helvétius en Stendhal moeten de passies beschouwd worden als de productieve kiem van onze geest. De passie doet in het object van ons verlangen aspecten ontdekken, die voor de anderen ongekend zijn : « Ce sont les passions qui fixent fortement notre attention sur l'objet de nos désirs, nous le font considérer sous des aspects inconnus aux autres hommes, et qui font, en conséquence, concevoir et exécuter aux héros ces entreprise hardies, jusqu'à ce que la réussite en ait prouvé la sagesse, paraissent folles, et doivent rééllement paraître telles à la multitude ».3

De erotiek stelt het probleem van de dood, omdat de seksualiteit een sterven in de tijd impliceert. Het orgasme wordt in de volkstaal « de kleine dood » genoemd. Georges Bataille kritiseert de dode taal van de filosofie en opteert voor een filosofie die rekening houdt met de stuiptrekkingen van seksualiteit en dood. In de erotiek gaat het om de enkeling met zijn particulariteiten. Wel kan men bij gelegenheid verwijzen naar mythen – we denken bijvoorbeeld aan de mythe van Tristan en die van Don Juan -. De mythen doen beroep op typologieën. Het persoonlijk avontuur speelt zich af ver van de collectiviteit.

De westerse erotiek is de grote ontdekking van de romantici, die samen met het lyrisme van de troubadours verschillende dimensies van het religieuze herontdekken; De seksualiteit wordt dus opgeëist door de ziel. De 12de eeuw bracht een keerpunt in de geschiedenis van de erotiek : de manicheïstische en gnostische bewegingen stelden de voortplanting in vraag zonder echter het sekssuele plezier en de passie te discrediteren.

 

Denis de Rougemont wijdt vijf bladzijden aan Stendhal in zijn boek « L'Amour et l'Occident », en hij betitelt die als t'volgt : « Stendhal ou le fiasco du sublime » : « En matérialiste grossier – c'est la bonne espèce, la plus franche – il sublime tout problème, grâce à sa théorie de la cristallisation, don de l'erreur. Ce qui explique la passion, à son avis, c'est une erreur favorable au désir »4

Dergelijke uitlatingen miskennen de complexiteit van Beyle. De probleemstelling van de illusie in de liefdesbeleving wordt op een meer genuanceerde manier uitgedrukt door Miguel de Unamuno in zijn boek « Del sentimiento tràgico de la vida » : « Es el amor, lechores y hermanos míos, la màs tràgico que en el mundo y en la vida hoy; es el amor hijo del engaño y padre del desengaño; es el amor el consuelo en el desconsuelo, es la ùnica medicina contra la muerte, siendo como es de ella hermana »5. De liefde is de zoon van de illusie en de vader van de illusie : de liefde komt voort uit de illusie, en ze brengt desillusie voort.

In zijn werk « L'Erotisme » wijst Georges Bataille erop dat de erotiek in principe steriel is en het kwaad, het duivelse vertegenwoordigt. De religieuze mens gaat in tegen een orde waarin de voortplanting op de voorgrond treedt en hij opteert voor een bekoring die de doodsdrang impliceert. De dood wordt de wereld van het sublieme, waarin het streven naar het oneindige uitmondt.

Het verlangen zichzelf te verliezen impliceert een zekere ambiguïteit. Het is eigenlijk het verlangen te sterven zonder op te houden te leven, m.a.w. het is het verlangen naar een extreme toestand, of naar een leven vol onstuimigheid. We denken in dit verband aan de concentratie in de Stendhaliaanse gepassioneerde liefde. Georges Bataille opteert voor een filosofie van de extremen van het mogelijke, die zichzelf in vraag kan stellen : « Ce que je voudrais représenter finalement est l'impasse de la philosophie qui ne put s'accomplir sans la discipline, et qui, d'autre part, échoue du fait qu'elle ne peut embrasser les extrêmes de son objet, ce que j'ai désigné autrefois sous le nom d'extrêmes du possible, qui touchent toujours aux points extrêmes de la vie »6 Bataille brengt een soort hulde aan de stilte en waarschuwt ons voor de dode taal van de filosofie.

We hebben er reeds op gewezen dat Stendhal in zijn theorie over de passie beïnvloed werd door Helvétius, en dat deze laatste een onderscheid maakte tussen natuurlijke passies (de gewaarwordingen) en artificiële passies (de eigenlijke gevoelens). Men wordt bewogen door een passie, als één enkel verlangen heerst in onze ziel en al onze andere verlangens overheerst. Men kan de passies enkel goed beschrijven als men er zelf ontvankelijk voor is. Dit is gebaseerd op het principe van het sensualisme : de ideeën komen voort uit de ervaring.

Op 4 maart 1819 ontmoette Stendhal Méthilde Dembowski. Zijn onbeantwoorde liefde zal hem aanzetten tot het schrijven van « De l'Amour » dat zal gepubliceerd worden op 17 augustus 1822. Het is vooral de psychologische analyse die het werk interessant maakt. De nadruk wordt gelegd op de essentiële rol van de verbeelding.

De kirstallisatie volgens Stendhal is een operatie van de geest die het geliefde object meer en meer volmaaktheden toeschrijft. Stendhal gebruikt in dit verband het beeld van een takje dat in de zoutmijnen van Salzburg wordt neergelegd, en dat men later terugvindt bedekt met schitterende kristallen.

In zijn werk « Eléments d'idéologie » schreef Destutt de Tracy een stuk over de liefde « De l'Amour ». De Tracy gaat in tegen alle sociale vooroordelen. Volgens hem is de liefde niet enkel een fysieke behoefte, ze is een passie, een gevoel, een gehechtheid van individu tot individu, een vervolmaking van de vriendschap.

Het thema van de gepassioneerde liefde krijgt de beste verwerking in « La Chartreuse de Parme ». In 1836 dicteert Stendhal dit meesterwerk te Parijs in 52 dagen. Het thema impliceert de vervoering 7van de ziel en het belang van de herinnering. De zielskracht van het hof van Parma wordt geconcretiseerd in het sublieme personage van de Sanseverina.

Het was in Rome dat Stendhal manuscripten had ontdekt van Italiaanse kronieken uit de 16de en 17de eeuw en die had laten kopiëren. Enkele van deze verhalen zullen in 1839 verzameld worden onder de titel « L'Abbesse de Castro ». Eén ervan ligt aan de oorsprong van « La Chartreuse de Parme ».

Peter Brooks noemt de stijl van Stendhal de stijl van de « worldliness », de stijl van de kennis van de wereld. Het gaat om het materialisme. Deze kennis omvat de hele ervaring van de ethiek en levenswijze, de politiek, de liefde, de sociale positie, de moraal. Peter Brooks benadrukt het creatieve karakter van die stijl in de Stendhaliaanse fictie : « In Stendhal's fiction, the attitudes and techniques of worldliness become a dramatized problem, no longer an assumed point of view, but one that is created, celebrated, put into question and forced to demonstrate the range of its validity ». ... « Its finality is a product of its purity; and this purity makes 'La Chartreuse' less significant as text for investigating Stendhal's problems in writing a modern novel of worldliness ».

1LITTO (Vittorio del), « La vie intellectuelle de Stendhal; genèse et évolution de ses idées, 1802-1821 », Presses Universitaires de France, 1962, Paris, p. 139

2Stendhal, « Armance », Garnier-Flammarion, 1967, Paris, p. 186-187

3Stendhal, « Histoire de la Peinture en Italie », le Divan, 1929, Paris, p. 137-148

4Rougemont (Denis de), « L'Amour et l'Occident », Librairie Plon, 1972, Paris, p. 24

5Unamuno (Miguel de), « Del sentimiento tràgico de la vida », Espasa-Calpa, S.F., 1980, Madrid, p. 127

6Bataille (Georges), « L'Erotisme », Editions de Minuit, 1957, Paris, p. 288

7Brooks (Peter), « The novel of worldliness : Crébillon, Marivaux, Laclos, Stendhal », Princetion University Press, 1969, p. 226, 266

 

©Eliza Muylaert, « Arrière-plan philosophique de l’œuvre de Stendhal, Réédition par l'auteure, 2016. Peinture sur toile de Liza LEYLA, « Cristallisation stendhalienne ». Cette thèse est disponible chez l’auteure (membre de l’O.M.P.P.). Elle est bilingue (français-néerlandais)

 

 


 

1 Dans le Petit Larousse illustré 2000, on trouve la définition suivante du mot 'érotisme' : « 1. caractère érotique de quelqu’un, de quelque chose, de quelqu’un : évocation de l’amour physique. 2. Recherche variée de l’excitation sexuelle». Dans ce mémoire, on mettra l’accent sur la philosophie de l’Eros, sur la dimension spirituelle de l’érotisme.

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